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Table des matières
Protocoles d'expérimentation
Il convient de distinguer deux aspects à étudier:
- Le fait que le corps d'un individu émette un signal détecté par un scanner BT sous la forme d'une adresse de type MAC random recognizable (les “codes-mystères” ou “PKM”).
- Le lien entre, d'une part le fait qu'un individu ait reçu des injections “anti-covid” et/ou tests PCR nasopharyngés et d'autre part l'émission de “PKM”.
Exemple de protocole pour mettre en évidence les 2 aspects
L'expérience de Cognac-la-Forêt (octobre 2021) a permis de mettre en évidence les 2 aspects. En effet, elle rassemblait une quarantaine d'individus, certains ayant reçu des injections, d'autres pas d'injection mais test PCR, d'autres aucun traitement. Ses conclusions restent néanmoins incomplètes concernant le rôle possible des tests PCR pour la génération de signaux BT. Le protocole est clairement présenté dans le rapport (matériel de détection et analyse : pages 4 à 11, enregistrement et procédure de passage des sujets : pages 15 à 17).
Cependant, organiser une telle expérience demande des moyens assez conséquents.
Exemple de protocole pour mettre en évidence le 1er point
Protocole Alésia 1
Paris 14ème, une salle sur une cour intérieure, isolée d'une ruelle par une porte cochère. Les mesures montrent que, de façon habituelle à différent moment d'une journée lambda, on capte très peu d'adresse BT dans cette salle (moins d'une dizaine sur une demi-heure).
La ruelle étant jolie, des passants l'empruntent pour flâner. On intercepte un passant :
“Veuillez m'excuser de vous interrompre. J'habite ici, je mène une petite étude : je cherche des personnes ayant un smartphone Androïd et 1O' de temps libre. En plus, la cour est jolie, cela vous fera une petite pause sympathique… ”
Le fait de concentrer l'attention sur les Androïds :
- évite de s'encombrer du cas des iPhone (ceux-ci émettent un i-beacon) ;
- attire l'attention du passant sur un sujet qui n'a rien à voir avec les injections.
On peut prétexter mener une étude de “physique amusante”, par exemple pour préparer un cours de sciences physiques.
Dans la salle, les captures tournent en continu (cf. Détection des signaux BT en environnement Linux ).
On demande à la personne de mettre en route le BT de son smartphone. Puis d'entrer et sortir plusieurs fois de la salle (par tranche d'1 minute) et de s'en éloigner. On peut lui demander de refaire le test avec le BT en “off”, “pour voir si le smartphone n'émettrait pas un signal beacon même le BT éteint”.
On prend bien note du modèle de smartphone.
On peut conclure :
- si on est certain que ce type de smartphone n'émet pas de signaux “cachés”;
- Si un PKM apparaît lorsque la personne est présente et disparaît lorsque la personne sort, et ceci à plusieurs reprises.
Remarque :
- un PKM est susceptible de changer toute les 10-15'. Il est donc possible qu'un PKM disparaisse et soit remplacé par un nouveau, auquel cas celui-ci devrait persister un cycle complet.
- les signaux émis par les balises (BLE beacons) ont le même type d'adresse que les PKM. Cependant, lorsqu'ils s'agit de balise, les données détaillées indiquent des informations sur le fabricant.
Et voilà !!
Pour mettre en évidence le 2ème point
La voie la plus directe serait de demander au sujet les traitements qu'il a reçus. Cependant, cela pose plusieurs difficulté d'ordre psychologique :
- Cela est anxiogène et peut pousser le sujet à renoncer à participer ;
- Si le sujet est d'accord :
- Si le test est concluant, cela peut être difficile à gérer pour lui (lui proposer des pistes d'antidotes).
- Si le test est non concluant, cela peut mettre l'expérimentateur en situation délicate (surtout si il a passé du temps à convaincre le sujet de participer, on passe un peu plus pour un zozo ! )
Une autre voie est de mener l'étude du 1er point (ci-dessus) avec des personnes dont on sait qu'elles n'ont pas reçu d'injection. S'il s'avère que, sur un effectif de plusieurs dizaines de personnes, aucune n'est source de PKM, tandis que, a contrario, on trouve plusieurs personnes sources de PKM parmi un effectif similaire de personnes traitées, il semble raisonnable de conclure que PKM sont liés aux injections. (Envisager la possibilité d'une influence des tests PCR).